*Chavouôt
שבועת
Fête
des Semaines.
Le
6 et le 7 Sivan en Galout et le 6 en Eréts Israël. (Jour de Yom Tov).
Chaque Juif
se doit de compter sept semaines à partir du deuxième soir de Pessa’h.
Après le
comptage de l’Omère, nous célébrons la fête du don de la « Torah
». « Chavouôt »
Il est d’usage
de se purifier la veille de Chavouôt pour séparer la période de la rigueur
et le don de la Torah.
•
Quelques notions :
Chavouôt
représente aussi :
«
Hag Ha’katsir » ou Fête de la Moisson, indiquant la fin de la récolte
de l’orge et le commencement de la récolte du froment.
«
Yom Ha’bikourim » ou Jour des Prémices, car ce jour était consacré
à offrir au Temple les premiers épis de blé. Nos ancêtres offraient
à l’époque deux pains de froments de la nouvelle récolte.
Chavouôt
représente davantage de nos jours la promulgation de la Torah au détriment
de son sens premier qui représentait la ‘Terre’.
-Durant
la fête, il faut réciter le Téhilim 68.
Cette fête est particulièrement propice à un retour à la Torah, car
elle représente l’élection du Peuple Juif par D- lui-même.
On a coutume de se couper les cheveux.
Du 1er Sivan au 12 Sivan, on ne récite pas « Ta’hanoun ».
Il est sage d’aller au mikvé la veille de Chavouôt pour recevoir la
Torah.
A la fin de Chavouôt, on récite Arvit, en ajoutant dans la Amidah «
Atah ‘Honanétanou… »
Beaucoup procède à la lecture de « Birkat Halévanah », si la
lune le permet.
Cette fête
commémorative du don de la Torah, ce veut de nous redonner une nouvelle
attraction vers la Torah et d’élever notre spiritualité vers l’étude.
A Pessa’h,
nous avons les Matsot, à ‘Hanoukah, nous avons la « Ménora », à
Souccoth, nous séjournons dans des cabanes (Souccah), mais à Chavouôt,
nous ne possèdons aucun signe commémoratif.
Le cadeau
que D- nous a donné ne peut être représenté ni par un objet, ni par
des cérémonies. La Torah est Unique est ne peut être simulé à quoi
que ce soit.
En l’honneur
de ce don de D-, nous devons étudier toute la nuit et lire les Téhilim
en souvenir du Roi David né à Chavouôt et décédé à Chavouôt.
Les
synagogues sont remplies de fleurs et depuis le début du mois de Sivan
jusqu’au 6, on ne lit pas les Ta’Hanounim. Il est d’usage de consommer
des produits faits de lait et de miel. En l’honneur de la Torah, qui
cite : « Du lait et du Miel coule sous ta langue », il est d’usage
de préparer des mets avec lait et du miel (datte). (Cant. 4§11).
Toute la nuit
est consacrée à l’étude du « Tikoun Chavouôt » ; ainsi que
la lecture de la Méguila de Ruth.
Durant Chaha’hrit,
on récite le Hallel complet. A la sortie du Séfèr Torah, on lit la «
Kétouba
» qui unit Israël à la Torah. Contrat éternelle entre D- et son Peuple.
Si
Chavouôt tombe un Vendredi, il faudra procéder au « Eirouv Tachiline
»
Concernant
la préparation de mets.
Le « Êirouv
Tavchiline» Procédure permettant de préparer les repas pour le Shabbat
durant les Jours de Fêtes. En commençant la préparation des mets prévus
pour Shabbat avant les Jours de Fêtes permet de finir cette préparation
pendant les fêtes pour que le repas du Shabbat puisse être prêt.
• Procédure
:
Lorsqu’un
jour de fête tombe un vendredi, soit un Yom Tov, il ne nous est pas permis
de cuisiner, mais le fait que le lendemain soit Chabbat, il existe une
règle qui permet de préparer son repas de chabbat.
La veille
de Yom Tov, on commence à préparer un morceau de pain ou 60 gr de matsa.
On commence
à préparer également un aliment cuit (minimum de 30 gr) qui sera une
partie du plat à finir destiné pour le Chabbat. L’ensemble constitue
le « Êirouv ». Ainsi, le vendredi, même si ce jour là est un Yom Tov,
il sera permis de cuisiner.
On tâchera
de cuisiner le plus tôt son repas de Chabbat, et surtout ne pas oublier
de consommer l’Êirouv durant Chabbat.
On prend dans
les mains le plat cuisiné préparé pour l’Êirouv et on dit :
Baroukh
‘Atah Ado-Nay Elo-hénou Mélekh Haôlame ‘Achèr Kidéchanou Bémitsvotaïv
Vétsivanou Âl Mitsvat Êirouv.
Bédeine
Êirouva’ Yéhé Charéy Lana’ La’afoyéi Oulevachouley Oule’atemonéy
Oultakounéy Oulemich’hate, Oule »adloukéy Charegah Ouleméêbad Quol
Tsarekhanah, Miyom Tov LéChabat.
•
L’allumage du 1er et 2ème Jour de Chavouôt
(Prévoir
une bougie de 24 heures pour l’allumage du deuxième jour).
3. Baroukh
‘Atah Ado-Nay Elo-hénou Mélekh Haôlame ‘Achèr Kidéchanou Bémitsvotaïv
Vétsivanou Léhadliyk Nèr Chèl Yom.
4. Baroukh
‘Atah Ado-Nay Elo-hénou Mélekh Haôlame Chéhé'héyanou Vekiyémanou
Vehiguiyanou Lazémane Hazéh.
•
Les
Kiddoush de Chavouôt : Le soir de Chabbat. ***
D’après
le Zohar, Israël est comparée à une « Rose » entourée d’épines
et la coupe de vin doit faire allusion à cette « Rose ».
Le Zohar préconise
de tenir la coupe de vin sur sa paume entourée de nos cinq doigts pareil
aux cinq feuilles résistantes qui protègent ses treize pétales.
Ces cinq sépales
sont appelés « Délivrances ». Les treize pétales représentent la
« Communauté d’Israel » égalent aux « Treize mesures de Tendresse
» qui entourent et protègent Israël.
Rassemblé
autour de la Table dressée, le Chef de Famille debout récite avec la
coupe de vin à la main .
• Si le
soir de Chavouôt est un vendredi soir, on commence ici :
Yom Hachichy vayékhoulou Hachamaïm véhaarèts, vékhol-Tséva’am :
Vayékhal, ‘Élohym, baYom Hachévyî, méla’khto ‘Achèr Âssah,
vayéchbot
BaYom Hachévyî, mikol –méla’khto ‘Achèr Âssah, vayébarèkh
‘Élohym
Éte Yom Hachévyî, vayékadèch ‘Oto, ky bo Chabat mikol –méla’khto,
‘Achèr Bara’ ‘Élohym Laâssot :
«
‘Elé Moâdéi Ado-Nay Mikra’éi Kodesh. ‘Acher Tikré’ou Otam
Bémoâdam :
Vaydabèr
Moshé ‘Ete Moâdéi Ado-Nay. ‘El-Bénéi Israël :
BÉNÉDICTION
SUR LE VIN :
Savry Maranane :
Les convives répondent : Lé’Haïm
Baroukh
‘Atah Ado-Nay ’Elohéinou Mélèkh Haôlam Boré’ Péry Haguéfene.
Baroukh
‘Atah Ado-Nay ’Elohénou Mélèkh Haôlam ‘Achér Ba’har Banou
Mikol Âm Véromémanou Mikol Lachone Vékidéchanou Bémitsvotaïv. Vatitène
Lanou Ado-Nay Elohénou Bé’ahavah, Chabatot Limnou’Ha Oumoadiyme Léssim’Hah
‘Haguyime Ouzmaniym Lessassone. ‘Ete Yom HaChabat Hazéh, Vé’éte
Yom ‘Hag haChavouôt Hazéh. Vé’ète Yom Tov Mikra’ Kodesh Hazéh,
Zmane Matane Toraténou, Bé’ahavah Mikra’ Kodèsh, Zékhère Lytsii’ate
Mitsraïm. Quy Vanou Ba’harta Véotanou Kidachta Mikol Haâmim, VéChabatot
Oumoâdéi Kodechékha Bé’ahavah, Ouvératsone Béssim’Hah, Ouvéssassone
Hine’Haltanou.
Baroukh
‘Atah Ado-Nay Mékadech HaChabat VéIsraël Véhazemanime.
Baroukh
‘Atah Ado-Nay ’Elohéinou Mélèkh Haôlam Chéhé’héyanou Vekiyémanou
Vehiguyanou Lazemane Hazéh.
Le chef de
famille s’assoit pour boire le vin et en verse dans une autre coupe pour
les femmes et passe ensuite son verre aux autres hommes. On est tenu de
posséder une coupe contenant un minimum de 86ml de vin.
On se dirige tous pour le « lavage des mains ».
o Le
lavage des mains : «
Nétilat Yadaïm »
On
verse de l’eau du kéli que l’on tient de la main gauche, trois fois
sur la main droite et enfin de la main droite, trois fois sur la main gauche.
On éléve
ses deux mains à la hauteur des yeux et on récite :
Baroukh
‘Atah Ado-Nay ’Elohéinou Mélèkh Haôlam ‘Achèr kidéchanou
Bémitsvotaïv
Vétsivanou Âl Nétylat Yadaïm :
On s’assurera
que les mains soient bien séches.
o La
Bénédiction sur le pain : « Hamotsi
»
On prend une
Halla, dans chaque main. On superposera les deux Hallot pour dire la bénédiction
« Motsi » il est d’usage de choisir le pain le plus doré pour le placer
au dessous de l’autre car c’est celui-ci qui devra être coupé.
En soulevant les deux pains l’un au dessus de l’autre :
Êinéi Kol ‘éléikha Yessabérou, Vé’atah
Notène Lahem ‘éte ‘Akhlam Béîto :
Potéa’h ‘Ete Yadékha Oumassbyâ lékhol ‘Haï Ratsone :
Baroukh ‘Atah Ado-Nay ’Elohéinou Mélèkh Haôlam Hamotsy’ Lé’hém
Mine Ha’arets.
Le chef de
famille prend le pain du dessous, en coupe un morceau, le trempe dans le
sel et le mange, puis il distribue d’autres morceaux aux convives.
On ne jettera
pas les morceaux de pain, mais on les déposera devant chaque convive.
Après le
repas, on est tenu de réciter le « Birkat
Hamazone ».
•
Les
Kiddoush de Chavouôt : Le soir de semaine.
D’après
le Zohar, Israël est comparée à une « Rose » entourée d’épines
et la coupe de vin doit faire allusion à cette « Rose ».
Le Zohar préconise
de tenir la coupe de vin sur sa paume entourée de nos cinq doigts pareil
aux cinq feuilles résistantes qui protègent ses treize pétales.
Ces cinq sépales
sont appelés « Délivrances ». Les treize pétales représentent la
« Communauté d’Israel » égalent aux « Treize mesures de Tendresse
» qui entourent et protègent Israël.
Rassemblé
autour de la Table dressée, le Chef de Famille debout récite avec la
coupe de vin à la main.
« ‘Elé
Moâdéi Ado-Nay Mikra’éi Kodesh. ‘Acher Tikré’ou Otam Bémoâdam
:
Vaydabèr
Moshé ‘Ete Moâdéi Ado-Nay. ‘El-Bénéi Israël :
BÉNÉDICTION
SUR LE VIN :
Savry Maranane :
Les convives répondent : Lé’Haïm
Baroukh
‘Atah Ado-Nay ’Elohénou Mélèkh Haôlam Boré’ Péry Haguéfene.
Baroukh
‘Atah Ado-Nay ’Elohéinou Mélèkh Haôlam ‘Achér Ba’Har Banou
Mikol Âm veromémanou mikol lachone Vékidéchanou Bémitsvotaïv. Vatitène
Lanou Ado-Nay Elo-héinou Bé’ahavah, moâdiyme Léssim’Hah, ‘Haguiyme
Ouzmaniym Lessassone ‘Ete Yom ‘Hag HaChavouôt Hazéh.
Ve’ète
Yom Tov mikra’ Kodesh Hazéh, zmane Matane Toraténou, Bé’ahavah Mikra’
Kodésh, Zékhère Liytsiy’iate Mitsraïm.
Quy Vanou
Ba’harta Véo’tanou Kidachta Mikol Haâmim, Moâdéi Kodchékha Bessim’hah
Ouvessassone Hin‘Haltanou.
Baroukh
‘Atah Ado-Nay Mékadech Israël vehazemaniyme.
Baroukh
‘Atah Ado-Nay ’Elohéinou Mélèkh Haôlam Chéhé’héyanou Vekiyémanou
Vehiguyanou Lazemane Hazéh.
On boit
le vin assis.
On se dirige tous pour le « lavage des mains ».
o Le
lavage des mains : «
Nétilat Yadaïm »
On verse
de l’eau du kéli que l’on tient de la main gauche, trois fois sur
la main droite et enfin de la main droite, trois fois sur la main gauche.
On éléve
ses deux mains à la hauteur des yeux et on récite :
Baroukh
‘Atah Ado-Nay ’Elohénou Mélèkh Haôlam ‘Achèr kidéchanou
Bémitsvotaïv
Vétsivanou al Nétilat Yadaïm :
On s’assurera
que nos mains soient bien essuyées, et sans dire un mot, on regagne la
table du Chabat et l’on s’assied.
o La
Bénédiction sur le pain : « Hamotsi
»
On prend une
Halla, dans chaque main. On superposera les deux Hallot pour dire la bénédiction
« Motsi » il est d’usage de choisir le pain le plus doré pour le placer
au dessous de l’autre car c’est celui-ci qui devra être coupé.
En soulevant les deux pains l’un au dessus de l’autre :
Êinéi Kol ‘éléikha Yessabérou, Vé’atah Notène Lahem ‘éte
‘Akhlam Béîto :
Potéa’h
‘Ete Yadékha Oumassbyâ lékhol ‘Haï Ratsone :
Baroukh ‘Atah Ado-Nay ’Elohénou Mélèkh
Haôlam Hamotsy’ Lé’hém
Mine Ha’arets.
Le chef de
famille prend le pain du dessous, en coupe un morceau, le trempe dans le
sel et le mange, puis il distribue d’autres morceaux aux convives.
On ne jettera
pas les morceaux de pain, mais on les déposera devant chaque convive.
Après le
repas, on est tenu de réciter le « Birkat
Hamazone ».
•
Pour Chavouôt un Samedi soir.
• Si le
soir de Chavouôt est un Samedi soir, on commence ici :
« ‘Elé
Moâdéi Ado-Nay Mikra’éi Kodesh. ‘Acher Tikré’ou Otam Bémoâdam
:
Vaydabèr
Moshé ‘Ete Moâdéi Ado-Nay. ‘El-Bénéi Israël :
• Bénédiction
sur le vin :
Savry Maranane :
Les convives répondent : Lé’Haïm
Baroukh
‘Atah Ado-Nay ’Elohénou Mélèkh Haôlam Boré’ Péry Haguéfene.
Baroukh
‘Atah Ado-Nay ’Elohéinou Mélèkh Haôlam ‘Achér Ba’Har Banou
Mikol Âm veromémanou mikol lachone Vékidéchanou Bémitsvotaïv. Vatitène
Lanou Ado-Nay Elo-héinou Bé’ahavah, moâdiyme Léssim’Hah, ‘Haguiyme
Ouzmaniym Lessassone ‘Ete Yom ‘Hag HaChavouôt Hazéh.
Ve’ète
Yom Tov mikra’ Kodesh Hazéh, zmane Matane Toraténou, Bé’ahavah Mikra’
Kodésh, Zékhère Liytsiy’iate Mitsraïm.
Quy Vanou
Ba’harta Véo’tanou Kidachta Mikol Haâmim, Moâdéi Kodchékha Bessim’hah
Ouvessassone Hin‘Haltanou.
Baroukh
‘Atah Ado-Nay Mékadech Israël vehazemaniyme.
ALLUMAGE
/
On contemple
les bougies déjà allumées depuis le Vendredi, (car on pourrait allumer
des bougies avec du feu existant, puisque c’est Yom Tov, mais on ne pourra
pas les éteindre. On aura pris la précaution d’allumer les bougies
de 24 ou 48 heures), et on dit :
Baroukh
‘Atah Ado-Nay ’Elohénou Mélèkh Haôlam Boré’ Mé’oréi Haèsh.
Baroukh
‘Atah Ado-Nay ’Elohénou Mélèkh Haôlam Hamavdiyl
Bein Kodesh
Lé’hol, Ouveyn ‘Or Lé’hochekh Ouveyn Israël
Laâmim
Ouveiyn Yom Hachéviyîy Léchéchèt Yeméy Hamaâsséh.
Bein Kédoushat
Chabat Likdouchat Yom Tov Ivedaletah. Vé-éte Yom Hachévi-i Michéchète
Yimé Ama-assé Kidachta Ivedale-tah Vékidacheta été Amékha Israël
Bikdouchatakh:
Baroukh
‘Atah Ado-Nay ’Elohéinou Mélèkh Haôlam Chéhé’héyanou Vekiyémanou
Vehiguyanou Lazemane Hazéh.
On boit
le vin assis.
On se dirige tous pour le « lavage des mains ».
o Le lavage
des mains : « Nétilat Yadaïm »
On verse
de l’eau du kéli que l’on tient de la main gauche, trois fois sur
la main droite et enfin de la main droite, trois fois sur la main gauche.
On éléve
ses deux mains à la hauteur des yeux et on récite :
Baroukh
‘Atah Ado-Nay ’Elohénou Mélèkh Haôlam ‘Achèr kidéchanou
Bémitsvotaïv
Vétsivanou al Nétilat Yadaïm :
On s’assurera
que nos mains soient bien essuyées, et sans dire un mot, on regagne la
table du Chabat et l’on s’assied.
o La Bénédiction
sur le pain : « Hamotsi »
On prend
une Halla, dans chaque main. On superposera les deux Hallot pour dire la
bénédiction « Motsi » il est d’usage de choisir le pain le plus doré
pour le placer au dessous de l’autre car c’est celui-ci qui devra être
coupé.
En soulevant les deux pains l’un au dessus de l’autre :
Êinéi Kol ‘éléikha Yessabérou, Vé’atah
Notène Lahem ‘éte ‘Akhlam Béîto :
Potéa’h
‘Ete Yadékha Oumassbyâ lékhol ‘Haï Ratsone :
Baroukh ‘Atah Ado-Nay ’Elohénou Mélèkh Haôlam Hamotsy’ Lé’hém
Mine Ha’arets.
Le chef
de famille prend le pain du dessous, en coupe un morceau, le trempe dans
le sel et le mange, puis il distribue d’autres morceaux aux convives.
On ne jettera
pas les morceaux de pain, mais on les déposera devant chaque convive.
Après le repas,
on est tenu de réciter le « Birkat Hamazone ».
•
Le matin de Chavouôt – Jour de semaine.
• Après
le retour de la synagogue le matin d’un jour de semaine :
« ‘Elé
Moâdéi Ado-Nay Mikra’éi Kodesh. ‘Acher Tikré’ou Otam Bémoâdam
:
Vaydabèr
Moshé ‘Ete Moâdéi Ado-Nay. ‘El-Bénéi Israël :
Chaloch
Péâmim BaChanah Yérahéh Quol Zékhourékha ‘Eté Penéiy Ado-Nay
Elo-héykha Bamakom ‘Acher Yive’Har Bé’Hag Hamatsot Ouvé’Hag
HaChavouôt, Ouvé’Hag HaSouccot, Vélo’ Yérahéh ‘Eté Penéiy
Ado-Nay Réikam : ‘Ich Quématenate Yado. Quévirquat Ado-Nay
‘Elohékha ‘Acher Natane Lakh.
• Bénédiction
sur le vin :
Savry Maranane :
Les convives répondent : Lé’Haïm
Baroukh
‘Atah Ado-Nay ’Elohénou Mélèkh Haôlam Boré’ Péry Haguéfene.
On boit le
vin assis.
On se dirige tous pour le « lavage des mains ».
o Le lavage
des mains : « Nétilat Yadaïm »
On verse
de l’eau du kéli que l’on tient de la main gauche, trois fois sur
la main droite et enfin de la main droite, trois fois sur la main gauche.
On éléve
ses deux mains à la hauteur des yeux et on récite :
Baroukh
‘Atah Ado-Nay ’Elohénou Mélèkh Haôlam ‘Achèr kidéchanou
Bémitsvotaïv
Vétsivanou al Nétilat Yadaïm :
On s’assurera
que nos mains soient bien essuyées, et sans dire un mot, on regagne la
table du Chabat et l’on s’assied.
o La Bénédiction
sur le pain : « Hamotsi »
On prend
une Halla, dans chaque main. On superposera les deux Hallot pour dire la
bénédiction « Motsi » il est d’usage de choisir le pain le plus doré
pour le placer au dessous de l’autre car c’est celui-ci qui devra être
coupé.
En soulevant les deux pains l’un au dessus de l’autre :
Êinéi Kol ‘éléikha Yessabérou, Vé’atah Notène Lahem ‘éte
‘Akhlam Béîto :
Potéa’h
‘Ete Yadékha Oumassbyâ lékhol ‘Haï Ratsone :
Baroukh ‘Atah Ado-Nay ’Elohénou Mélèkh Haôlam Hamotsy’ Lé’hém
Mine Ha’arets.
Le chef de
famille prend le pain du dessous, en coupe un morceau, le trempe dans le
sel et le mange, puis il distribue d’autres morceaux aux convives.
On ne jettera
pas les morceaux de pain, mais on les déposera devant chaque convive.
Après le repas,
on est tenu de réciter le « Birkat Hamazone ».
•
Le Chabat matin de Chavouôt.
• Après
le retour de la synagogue le Chabat matin :
Se récite
assis.
Le chef de
famille s’assoit, lève la coupe et récite :
Il est
bon de commencer par le Téhilim 23.
Mizmor
LéDavid Ado-Nay Roîy Lo’ ‘Ei’hsar, Bine’ote Déché’ Yarbytsèny
Âl-Mei Ménou’Hote Yenahalèny. Nafchy Yéchovèv Yane’Hèny Vémaêguelei
Tsédek Lémaâne Chémo. Gam Ky ‘Elèkh Béguéy’ Tsalmavéte Lo’
‘Yra’ Râ Ky ‘Atah Îmady Chivtékha Oumicheânétékha Hèmah Yéna’Hamouny
: Taârokhe Léfanay Choul’han Néguède Tsoréraï Dichaneta Vachémén
Rochy Kossy Révayah. ‘Akh Tov Va’Hésséd Yirédéfouny Kol Yémey
‘Haïya Véchavty Béveyte Ado-Nay
Lé’orékh
Yamim :
Im Tachyv
Mi-Chabat raglékha, Âssote ‘Hafatséikha Béyom Kadechy. Vékara’ta
LaChabat Ônégue Likdoch Ado-Nay Mékhoubade. Vékhibadeto Mèâssote
Dérakhéikha, Mimétso’ ‘Héftsékha Védabér Davar. ‘Az Titeânague
Âl Ado-Nay véhirekavtykha Âl Bamo¬teï Harets. Véha’akhaltykha Nakh1ate
Yaâkov ‘Avikha Ky Py Ado-Nay dibère :
Véchamérou
Vénei Yisraèl ‘Ete HaChabat. Laâssot, ‘Ete HaChabat Lédorotam Béryt
Ôlam : Béiny ouveine bénei Israël ôte hi’ léôlam. Ky Chèchéte
Yamym Âssah Ado-Nay ‘Ete Hachamaïm Vé’éte Ha’aréts, Ouvayom
Hachévyî Chavat Vayinafache:
« ‘Elé
Moâdéi Ado-Nay Mikra’éi Kodesh. ‘Acher Tikré’ou Otam Bémoâdam
:
Vaydabèr
Moshé ‘Ete Moâdéi Ado-Nay. ‘El-Bénéi Israël :
Chaloch
Péâmim BaChanah Yérahéh Quol Zékhourékha ‘Eté Penéiy Ado-Nay
Elo-héykha Bamakom ‘Acher Yive’Har Bé’Hag Hamatsot Ouvé’Hag
HaChavouôt, Ouvé’Hag HaSouccot, Vélo’ Yérahéh ‘Eté Penéiy
Ado-Nay Réikam : ‘Ich Quématenate Yado. Quévirquat Ado-Nay
‘Elohékha ‘Acher Natane Lakh.
Al Quéne
Bérakhe Ado-Nay ‘Eté Yom HaChabat Vaïkadechéhou.
• Bénédiction
sur le vin :
Savry Maranane :
Les convives répondent : Lé’Haïm
Baroukh
‘Atah Ado-Nay ’Elohénou Mélèkh Haôlam Boré’ Péry Haguéfene.
On boit
le vin assis.
On se dirige tous pour le « lavage des mains ».
o Le lavage
des mains : « Nétilat Yadaïm »
On verse
de l’eau du kéli que l’on tient de la main gauche, trois fois sur
la main droite et enfin de la main droite, trois fois sur la main gauche.
On éléve
ses deux mains à la hauteur des yeux et on récite :
Baroukh
‘Atah Ado-Nay ’Elohénou Mélèkh Haôlam ‘Achèr kidéchanou
Bémitsvotaïv
Vétsivanou al Nétilat Yadaïm :
On s’assurera
que nos mains soient bien essuyées, et sans dire un mot, on regagne la
table du Chabat et l’on s’assied.
o La Bénédiction
sur le pain : « Hamotsi »
On prend une
Halla, dans chaque main. On superposera les deux Hallot pour dire la bénédiction
« Motsi » il est d’usage de choisir le pain le plus doré pour le placer
au dessous de l’autre car c’est celui-ci qui devra être coupé.
En soulevant les deux pains l’un au dessus de l’autre :
Êinéi Kol ‘éléikha Yessabérou, Vé’atah
Notène Lahem ‘éte ‘Akhlam Béîto :
Potéa’h
‘Ete Yadékha Oumassbyâ lékhol ‘Haï Ratsone :
Baroukh ‘Atah Ado-Nay ’Elohénou Mélèkh Haôlam Hamotsy’ Lé’hém
Mine Ha’arets.
Le chef de
famille prend le pain du dessous, en coupe un morceau, le trempe dans le
sel et le mange, puis il distribue d’autres morceaux aux convives.
On ne jettera
pas les morceaux de pain, mais on les déposera devant chaque convive.
Après le repas,
on est tenu de réciter le « Birkat Hamazone ».
•
La Havdalah de Chavouôt.
A la sortie
de Chavouôt, après Arbit, on récite la « Havdalah » sur le vin seulement
et on finit par « Hamavdil », soit deux brahkot seulement.
Ne pas
oublier de réciter les "Brakhot finales sur le vin"
HAG SAMEA'H
Le deuxième
jour, on récite, pendant l’office du matin, la prière de Yizkor en
souvenir des disparus : on distribuera de l’argent pour la Tsedaka en
leur honneur.
*
Tiré du Livre " HACHEM E'HAD" - Bases essentielles du Judaïsme-
Info : priorite1@yahoo.com
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