La Torah appelle « Ich »
tout homme qui atteint l’âge de 13 ans.
Tout mâle ayant plus de
13 ans atteint sa majorité religieuse et doit absolument respecter
les Mitswot.
Il peut alors mettre ses Tefiline,
monter à la Torah et compter parmi le Minian.
Certains célèbrent
la Bar Mitswa le jour même de la treizième année.
Les proches et parents lui offre
ses premier Tefilin et son premier Talith.
Le Rabbin
indiquera la date de la cérémonie qui est en correspondance
avec la date de naissance. Vous pouvez calculer la date exacte grâce
au calculateur automatique de Chiour.com :
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Tiré de : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bar-mitsva
"Bar Mitsvah
, est un mot araméen qui pourrait signifier : Fils du Commandement.
C'est l'âge auquel le jeune garçon juif atteint sa majorité
religieuse, en principe 13 ans. La bat Mitsvah est l'âge auquel la
jeune fille juive atteint sa majorité religieuse, en principe 12
ans.
En réalité,
le mot Bar signifie fils et le mot Mitsvah signifie bonne action. Cela
représente donc l'acceptation des commandements du garçon
envers Dieu
Dans les
communautés traditionnelles la majorité religieuse des filles
ne fait l'objet d'aucune célébration particulière.
Pour les
garçons, c'est le moment où il compte comme une personne
à part entière dans la constitution d'un minian (dix hommes)
permettant un office collectif, où il porte les accessoires de prière,
Talit (châle de prière) et Téfiline (phylactères).
La tradition
veut que ces « premières » fassent l'objet d'offices
particuliers où le jeune garçon remplacera le chantre (Baal
Tefilah) ou le rabbin (Rav) qui mène habituellement l'office à
la synagogue. Suivant ses capacités, il pourra conduire la totalité
de l'office ou, au minimum, lire dans la Torah le passage affecté
à la semaine de sa majorité"Dans les communautés traditionnelles
le jeune Bar Mitzvah commence à célébrer sa majorité
le jour de ses 13 ans dans le calendrier Hébraïque où
il portera pour la première fois les téfiline (uniquement
les jours de semaine), et le Talit. Puis, le lundi ou le jeudi suivant,
jours de lecture de la Torah à l'office public, et le samedi matin
pour les offices du Shabbat (samedi), il "montera" à la Torah pour
en faire sa lecture. Il prononcera aussi un commentaire personnel sur le
passage de la Torah qu'il a lu, c'est la derachah.
L'office,
en particulier celui du matin du Chabbat, est traditionnellement suivi
d'une collation, la Séouda Chlichit (la prière du matin est,
en principe, dite avant le déjeuner). Lorsque la communauté
célèbre une Bar Mitzvah, il est d'usage que les parents invitent
tous les participants à un buffet qui s'ouvre par la récitation
du Kiddouch, prière sur le vin.
La lecture
de la Torah n'est pas particulièrement aisée car le texte
hébreu s'écrit sans voyelles et qu'aucune erreur n'est permise.
Elle demande donc soit un travail de mémorisation soit une très
bonne connaissance de la langue. De plus, il faut chanter avec les Téamims,
sorte de notes de musique qui indiquent l'intonation que l'on doit avoir
; ceux-ci aussi ne sont pas écrits, et cela accroït la difficulté
de lecture de la parasha. La Communauté, et surtout les parents,
sont fiers de l'aisance avec laquelle leur fils ou leur fille assure la
lecture de la Torah et le chant des prières."
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